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Couleurs d’automne en Pouilly-Fumé

Un grand merci au Dr. Bernard-Noël CHAGNY, auteur de ces superbes photographies aériennes du vignoble de Pouilly-Fumé aux couleurs d’automne.

 

Ici on aperçoit la Loire, le village de Pouilly-sur-Loire et bien sûr les vignes de Pouilly-Fumé aux couleurs actuelles…

 

Vignes de Pouilly, Loire, Bernard-Noël CHAGNYMagnifiques couleurs d’automne pour les coteaux de Pouilly-Fumé… par Bernard-Noël CHAGNY…Couleurs d'autonme à Pouilly, Loire, Bernard-Noël CHAGNYVous pouvez admirer d’autres photos signées Bernard-Noël CHAGNY sur son site : http://kap-archeo.com

 

Ci-dessous les vignes des « plateaux », où, entre autre, est produit notre Pouilly-Fumé « Villa Paulus » sur marnes kimméridgiennes, tout près de la voie romaine.

 

Vignes des plateaux Bernard Noel Chagny

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Pouilly-Fumé, bientôt vendangé ?

On se prépare à Pouilly. Dernière ligne droite avant les vendanges

 

Il faut goûter les raisins car la seule maturité alcoolique (qui est déjà au rendez-vous) ne suffit pas. La maturité physiologique est toute aussi importante… Patience, donc…

 

La météo qui nous est très favorable depuis les cinq dernières semaines semble vouloir le rester, à notre plus grande joie… Avec son aide, les conditions d’un grand millésime 2014 semblent à portée de main. Espérons que nous réussissions, cette année encore, à produire des Pouilly-Fumé et des Sancerre, dignes des plus grands millésimes ! Car, vous faire plaisir est notre plus grand plaisir…

Crédits photos : Jean-Michel Masson, Blanc Fumé de Pouilly du 25/09/2014 Blanc Fumé de Pouilly 2014-1Blanc Fumé de Pouilly 2014-2Blanc Fumé de Pouilly 2014-3Blanc Fumé de Pouilly 2014-4Crédits photos : Jean-Michel Masson, Blanc Fumé de Pouilly du 25/09/2014

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Winedoctor by Chris Kissack… Interesting article on Pouilly-Fumé

Domaine Masson-Blondelet Pouilly-Fumé Les Angelots 2012

Some wines bring a moment of intellectual interest, a chance to reflect on their origins, to analyse how on particular wine differs from another, a wine perhaps made from different varieties, or from vines grown on a different terroir. Some wines impress with their energy and vivacity, wines which within a moment of hitting the palate immediately instruct you to sit up and pay attention, because this is not a wine to be casually sipped, but is instead a wine to revel in, a vinous roll in the hay perhaps? Other wines, however, prefer to gently seduce you with their complexity, their exquisite balance, their texture and structure intertwined in perfect symmetry, neither so uncouth as to speak above the other.

 

It isn’t often, however, that you come across a wine that achieves all of these in a single mouthful.

 

Domaine Masson-Blondelet is one of the leading names in Pouilly-Fumé, an appellation which doesn’t seem to get so much attention as Sancerre, despite that fact that there are some hugely dedicated and thoughtful growers living and working here. And that statement isn’t simply a veiled reference to Louis-Benjamin Dagueneau; I’m not denying the quality of his (or his father’s) wines, as I have found great appeal in recent vintages, it is just that there is more to Pouilly-Fumé than this one domaine, just as there is more to Margaux than Château Margaux, and more to Pomerol than Petrus. There isn’t enough love for the other growers of Pouilly-Fumé beyond the Dagueneau family in my opinion, so I’m doing my bit here.

 

Shining the light on one or two other domaines in the appellation isn’t an arduous undertaking when we have the likes of Domaine Masson-Blondelet (profile coming tomorrow, by the way) giving us wines such as the one up for discussion here. Jean-Michel Masson and his family tend about 21 hectares of vines across several different terroirs in the appellation, and they vinify according to these terroirs. This particular wine comes from vines planted on limestone, near Le Bouchot (on the outskirts of Pouilly-sur-Loire) and near Saint-Quentin-sur-Nohain, near the edge of the appellation. Jean-Michel describes the limestone as Portlandian, which surprised me, as I didn’t expect such a spine-tingling and exciting wine from this terroir. On review of modern geological maps from the Bureau de Recherches Géologiques et Minières and the Pouilly-Fumé syndicat (the second is, admittedly, probably derived from the first), however, I see that the limestone is in fact calcaire de Villiers, which seems to straddle the Upper Oxfordian and Lower Kimmeridgian. Kimmeridgian limestone, as any advocate of Chavignol in Sancerre and the grand cru vineyards in Chablis knows, has long been associated with top quality wines.

 

The 2012 Pouilly-Fumé Les Angelots feels tightly coiled when it hits the glass, the nose introverted and reticent, and it takes an hour or so to really open up to release its full aromatic complexity. It also feels a little soft on the palate on first taste, and over the course of this first hour as the nose unfurls the palate corresponds by firming up, showing more frame and structure. In truth the first taste is a little underwhelming, but it proves the point that it is not just aged Bordeaux that needs a little time in a decanter to show its best, and the most informative way is to assess a wine over the course of an evening as here, as opposed to the fleeting encounters many tasting notes are based on. The nose, once it opens up, shows a firm, limestone substance, before it reveals streaks of gooseberry fruit, nuanced with a delightfully and unceasingly smoky, flinty-slatey edge. In the mouth it shows off, the cool tension of the midpalate the base from which it reveals layers of ripe and very correct fruit with a green pear-skin bite, underpinned by tingling yet polished acidity. Energetic, beautifully balanced, cerebral and speaking of its origins, this is a wine of great harmony, supple and perfectly poised. A stunning success and a wine that left me feeling invigorated the entire weekend. 18/20 (1/9/14)

From : http://www.thewinedoctor.com/weekend/massonblondelet_pouillyfumeangelots_2012.shtml

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Pouilly-Fumé : désherbage mécanique ou à pied…

Alors que la date des vendanges se rapproche chaque jour mais que rien n’est encore joué, la vigne et l’herbe, sa concurrente, poussent grâce au soleil et parfois à la pluie.

 

Comme vous le savez : MASSON-BLONDELET cultive toutes ses vignes comme son potager : SANS DÉSHERBANT, NI INSECTICIDE pour vous donner le meilleur du POUILLY-FUME

 

Voyez plutôt comment nous désherbons en ce moment nos vignes, sans chimie, à pieds à l’aide de débroussailleuses pour ne pas tasser nos sols…

 

Lutte contre l'herbe, à pieds, à la débroussailleuse

Désherbage mécanique = binages superficiels réalisés au tracteur-enjambeur équipé d’inter-ceps hydrauliques :Pouilly-Fumé sans désherbant

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Casse-Croute Vigneron

Très belle soirée hier à l’occasion du 10ème Casse-Croute des Vignerons de Pouilly-Fumé.

Dix ans déjà que nous avions pris cette photo de tous les vignerons présents dans les vignes de Pouilly. Les petits ont grandis. De nouveaux petits sont arrivés et de grands amis sont trop tôt partis…

Vignerons de Pouilly en 2004Souvenirs-souvenirs ! Le temps passe trop vite. Resterons derrière nous, nos flacons pour mémoire…

Alors profitons des bons moments présents et c’est ce que nous avons fait en ce 18 juillet 2014 aux Berthiers, à Saint-Andelain, lors du 10ème Casse Croute des Vignerons de Pouilly ! Beau moment de partage pour une même passion entre petits et vieux sages.

Vignerons de Pouilly Fume le 18.07.2014Y étaient présents pêle-mêle : Serge Dagueneau, Jean-Michel Masson, Bertrand Jeannot, Katia Mauroy, Valérie Dagueneau, Sophie Guyollot, Francis Blanchet, Gilles Blanchet, Frédéric Barillot, Philippe Seguin, Alexis Jeannot, Cédrick Bardin, Arnaud Bouchié, Jonathan Pabiot, Pierre-François Masson, Laurent Saget, Loïc Caillbourdin, Eric Marchand, Vincent Chatelain, Cédric Mauroy, Patrick Coulbois, Bruno Blondelet, Simon Dezat, Hervé Seguin, Annick Tinel, Catherine Corbeau-Mellot, Henry d’Assay, Thierry Redde, Claude Michot, Patrice Bailly, Camille Barillot, Fabien Coulbois, Michel Coulbois, David Bailly, Paul Corneau, Jean-Pierre Bailly, Gérard Pabiot, Nicolas Gaudry, Guy Champeau, Jean-Claude Chatelain, Clément Marchand, Yves Pabiot, Gérard Mauroy, Pascal Kerbiquet, Benoit Chauveau, Marc Deschamps, Jérome Bruneau, Séverin Chollet, C. Perlat, Olivier Schlatter, Jérôme Pabiot, Valentin Blanchet, Audrey Bardin, Oscar Vatan, Louis Jeannot, Clémence, Elisa et Lucie Seguin, Léon Pabiot. Toutes mes excuses à ceux ou celles que je n’aurais involontairement pas cités.

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Accolages, écimage, rognage en Pouilly-Fumé

Les accolages s’achèvent en Pouilly-Fumé. La vigne est désormais accrochée à ses fils d’inox et ainsi mieux protégée contre les risques de casse des jeunes pousses encore fragiles en cas de violents orages ou de fort vent.

Vignes accolées en Pouilly-FuméAprès l’accolage vient l’écimage qui consiste à couper le dessus de la plante. Pour le voir, comme si vous y étiez (bruit du tracteur inclus !) : cliquez ci-dessous pour un petit film de 15 secondes tourné par Jean-Michel Masson aux commandes du tracteur et de l’appareil photo :

 

Pouilly-Fume Écimage

 

Il est encore trop tôt pour le rognage qui lui, coupe les deux côtés et le haut du pied, donnant ainsi des vignes ordonnées et belles à admirer pour le randonneur, mais surtout permettant aux hommes et au tracteur de rentrer sans abimer le pied de Sauvignon blanc quand il s’agit d’enlever l’herbe mécaniquement à l’aide des inter-ceps hydrauliques ou à la pioche comme au bon vieux temps…

 

C’est ça aussi, le travail de toutes nos vignes sans désherbant et sans insecticide…

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Qu’est-ce que le Pouilly-Fumé ?

Pouilly-Fumé… Drôle de nom pour un vin !

 

C’est ici, à Pouilly-sur-Loire, que le cépage Sauvignon développe une complexité et une palette aromatique inégalées.

 

Vin blanc sec et fruité, le Pouilly Fumé est généreux. Il nous restitue dans sa bouteille, l’inimitable goût du terroir de Pouilly grâce à ses arômes de « pierre à fusil ». Minéralité et fruité sont sa typicité !

 

Vieux de plusieurs millions d’années, le terroir de Pouilly composé de marnes kimméridgiennes, calcaires durs et silex, donne au Pouilly-Fumé sa minéralité, sa finesse et son caractère tantôt frais et vif, tantôt franc et long en bouche, sans jamais oublier un fruit omniprésent. On trouve rassemblés dans le Pouilly-Fumé les arômes d’agrumes (notes citronnées, pamplemousse), les fruits d’ici et d’ailleurs (groseille, pêche de vigne, fruits de la passion, litchi,), les fleurs blanches (acacia, lys), mais aussi la noisette ou le coing.

 

C’est sur ce terroir incomparable, travaillé sans relâche à Pouilly, que naissent ces beaux vins pour votre plus grand plaisir. La subtilité de nos terroirs est une curiosité et une invitation : venez les découvrir sur place !

Vous pourrez également acheter vos Pouilly-Fumé sur notre boutique en ligne et vous faire livrer à domicile ou au travail.

Petites Précisions : un Pouilly Fumé peut se conserver entre 5 et 10 ans, selon les années et les cuvées. En général, son apogée est atteinte dans sa deuxième ou troisième année. Dans la rubrique « Nos Vins », onglet « Accords Mets et Vins » vous pourrez lire avec quel plat ou quel accompagnement nous vous conseillons de servir nos Pouilly Fumé. Ainsi vous saurez comment boire vos Sancerre et vos Pouilly-Fumé.

 

Pouilly Fumé / Pouilly Fuissé, quelle est la différence ?

Tous deux n’existent qu’en blanc. Le Pouilly-Fumé ne doit pas être confondu avec son paronyme Mâconnais qu’est le Pouilly Fuissé, issu du cépage Chardonnay et donc produit en Bourgogne.